Les vents de la guerre…

Les vents de la guerre…

Les vents de la guerre et les processus de crise sont une constante dans la phase que nous vivons. L’économie domine et la politique suit en tant que terrain « technique ». Aujourd’hui, nous pouvons parler de fascisations qui affectent les principaux pays impérialistes. Un climat culturel et social qui pousse de plus en plus vers une « guerre entre les pauvres », opposant les religions, les ethnies, les travailleurs, etc

Une police qui devient de plus en plus une force militaire, et un système législatif de plus en plus répressif envers tout ce qui n’est pas conforme aux classes dominantes : contre les activistes politiques, les syndicalistes, les antifascistes, les anti-impérialistes, les écologistes.La guerre, avec sa logique : la militarisation, l’autoritarisme, la répression, n’est pas seulement liée aux missions militaires à l’étranger, mais devient une dynamique qui trouve son application quotidienne sur le front intérieur. Guerre contre son propre peuple, guerre contre les masses populaires.

La criminalisation sociale et politique de entiers part de la société et de l’activisme politique trouve un exemple flagrant dans le crime d’apologie du terrorisme. L’état d’urgence devient la « norme » dans l’État impérialiste français, l’ennemi extérieur devient l’ennemi intérieur.a criminalisation sociale et politique de entiers part de la société et de l’activisme politique trouve un exemple flagrant dans le crime d’apologie du terrorisme. L’état d’urgence devient la « norme » dans l’État impérialiste français, l’ennemi extérieur devient l’ennemi intérieur. Combattre et soutenir les luttes des migrant-e-s signifie aussi s’opposer aux lois antiterroristes, qui sont utilisées dans toute l’Europe pour criminaliser et frapper les formes de protestation. Lutte contre la militarisation de la société signifie participer activement à toutes les formes de résistance

Secours Rouge Marseille

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